Le paprika ou poivre rouge, est une épice en poudre de couleur rouge obtenue à partir du piment doux séché et moulu.
L'épice est utilisée en cuisine pour son parfum âcre et sa couleur rouge. Le curcuma est une plante originaire du sud de l'Asie. Parfois appelé safran des Indes, il est largement cultivé en Inde mais aussi, à un moindre degré, en Chine, à Taïwan ou au Japon. Aujourd'hui, je cuisine du boeuf au paprika et au curcuma. Les ingrédients pour cette recette: Nettoyer les champignons et coupez-les en lamelles. Faites dorer la viande dans une sauteuse dans un peu d'huile d'olive.
Ajoutez la préparation précédente. Ajoutez la crème. Mettez, alors, sel, poivre, muscade, paprika et curcuma. Couvrir et laissez mijoter 5 minutes. Servez ce plat arrosé de jus de citron.
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J'ai relevé cette magnifique peinture sur une armoire électrique dans la ville de Joigny.
Elle représente l'ancienne Porte du Pont. Réalisée par Salvador Ripoll en 2008.
Cette originale et superbe peinture vaut le coup d'oeil. |
Joigny, que nous avons visitée lors de notre dernier voyage, est une commune située dans le département de l'Yonne et dans la région de Bourgogne.
J'ai déjà eu l'occasion de vous parler de Joigny dans cet article (voir le lien) ainsi que de la superbe église Saint Thibault (voir le lien). Aujourd'hui, j'aimerai vous dire quelques mots sur l'église Saint Jean située également à Joigny. L'église Saint-Jean est la plus ancienne églises de Joigny. Détruite pendant la guerre de Cent Ans, l'église fut reconstruite au XVesiècle.
Elle subit de graves dégâts suite à l'incendie de 1530.
Les travaux, conduits par Jean Chéreau, s'étalent de 1548 à 1596 et sont menés d'est en ouest. Les grandes arcades du rez-de-chaussée ont été édifiées dans le style gothique, pour s'harmoniser avec les parties ayant échappé à l'incendie. Mais la Renaissance s'impose dans les parties hautes : fenêtres hautes.
La voûte, en berceau, est exceptionnelle.
On peut y admirer une Mise au Tombeau datant du 15e siècle. Dans le choeur le maître-autel date du début du XXème siècle. Dans la nef se trouve un buffet d'orgue de la fin du XVIIème.
La voûte est, en effet, un des premiers exemples de cette structure architecturale sur la nef d'une église du 16e siècle en France.
Le thème du décor est un parterre de broderies dans un jardin. |
Je continue mon voyage au coeur de l'Yonne en m'attardant sur Joigny et plus précisément sur l'église Saint Thibault.
La tradition veut, qu'à l'extérieur de la ville de Joigny, fondée à la fin du Xème siècle, non loin des portes, il y ait eu une chapelle.
C'est là que s'arrêta le corps de Saint Thibault, mort en Italie en 1056 et ramené à Sens à la demande de son frère Arnoult, abbé de Sainte-Colombe de Sens. Une légende raconte qu'un bossu resta prier toute la nuit le saint à l'occasion de son passage!
De nombreuses personnalités furent paroissiens en ce lieu: Etienne Porcher, maître des garnisons de vin et sergent d'armes du roi Charles V... mais aussi sainte Madeleine-Sophie Barat, fondatrice des religieuses du Sacré-Coeur baptisée dans cette église en 1779. La statue équestre Saint Thibault, datant de 1530, qui se trouve sur la façade de l’église est attribuée à Juni, un sculpteur français qui vécut longtemps en Espagne.
C'est un bel édifice gothique tardif voûté d'ogives, avec un chœur où le gothique flamboyant a développé tout un réseau de liernes et tiercerons avec des clefs de voûtes pendantes.
Comme le faubourg hors les murs s'étend autour de la chapelle, elle est agrandie pour en faire une église paroissiale.
Dévastée par la guerre de Cent Ans, l'église Saint-Thibault est reconstruite à la fin du Moyen Âge, vers 1490.
L'église Saint-Thibault abrite un bel ensemble de sculptures champenoises et bourguignonnes.
L'église Saint-Thibault conserve un très riche patrimoine d'art sacré.
La première pierre...
On peut également admirer de belles statuaires datant du XIVème siècle.
Cette vierge à l'enfant sourit.
Les verrières datent des XVIIIe et XIXe siècles.
Les vitraux relatent la vie de nombreux saints importants pour Joigny.
Devant ce vitrail, on remarque une piéta du XVIème siècle provenant peut-être d'un ancien jubé.
Joigny mérite bien son surnom de ville d'art et d'histoire (voir l'article sur ce lien). |
J'ai reçu, hier, un très joli cadeau de Maryse. Maryse, tu fais des merveilles et tu m'as gâtée.
Cette rose avec ce petit bout de chou caché dans son coeur est magnifique. Le collier a déjà trouvé sa place. |
Après avoir réalisé les yaourts aux spéculos (voir l'article sur ce lien)
j'ai voulu tester la recette de la glace aux spéculoos de Véronique du blog "la petite popotte". Pour les amoureux de spéculoos, cette recette est à faire et à refaire. C'est un vrai régal. Merci Véro pour cette recette. Je rappelle les ingrédients pour cette recette: Vous mélangez le sucre et les jaunes d'oeufs. Au mélange jaune, sucre ajoutez les spéculoos.
Ajoutez la crème chantilly, puis les blancs en neige.
Mettez la crème ainsi obtenue dans un récipient adapté, au congélateur.
Bon appétit! |
La ville de Joigny est située au centre du département de l'Yonne, à 27km au nord d'Auxerre, 30km au sud de Sens, 75km à l'ouest de Troyes et à 147km au sud-est de Paris, sur les bords de l'Yonne en Bourgogne.
Nous avons eu l'occasion d'y faire un petit tour lors de notre dernier voyage en Bourgogne.
-Église saint-Jean (voir le lien)
-Samedi, jour de marché (voir le lien)
-Picsou ville (voir le lien) Le pont Saint Nicolas est un pont de pierre, aux arches inégales qui relie la « Vieille Ville » au quartier « Rive Gauche ».
De ce pont nous avons une large vue sur la vieille ville.
La ville de Joigny domine l'Yonne.
Le marché couvert, construction harmonieuse de métal et de briques, est d'une architecture de style Baltard de 1883.
Nous entrons dans la ville et nous entamons notre visite. Les rues sont étroites...
...et cachent de bien jolis trésors.
La Maison de «l'Arbre de Jessé» remarquable maison particulière à pans de bois sculptés qui développe en façade l'arbre généalogique du Christ.
Cette belle demeure Renaissance présente un décor d'écailles et d'engoulants.
Plusieurs représentations de saints illustrent les poteaux cormiers. Le style des maisons n'est pas sans rappeler le style alsacien. L'église Saint-André est à l'origine celle du Prieuré Notre Dame fondé en 1080.
Le linteau sculpté d'une des portes représente les trois épisodes de la vie de saint André. De superbes vitraux Renaissance dont la parabole des «vignerons homicides», éclairent sa large nef. Cette église fera l'objet d'un article. Cette architecture de pierre, de briques, de métal et verre abrita le Collège public dit «de la rue Saint Jacques» et conserve encore de nos jours les vestiges de l'ancien hôpital Saint Antoine (XVIe siècle).
C'est, aujourd'hui, l'école de musique. L'ancienne « halle aux grains», édifice construit entre 1824 et 1828, dans un style italianisant, voit aujourd'hui son 1er étage être transformé en une salle de théâtre et son rez-de-chaussée, qui abritait l'ancienne « Halle au blé », être aménagé en salles de rencontres et de conférences.
L'une des deux « Vigies » appartenant aux tours de guet qui surmontaient la Porte Saint Jacques, démolie en 1824.
Les lavoirs, édifiés en 1870, étaient à la fois les lieux de travail des lavandières, d'échanges et de vie sociale.
La porte du bois est la seule porte subsistant des remparts du XIIIe siècle.
L'ancien hôtel de ville, construit d'après les plans de l'architecte G. Boffrand (1725 - 1727), est situé sur une place encore entourée de quelques beaux hôtels particuliers. Ses superbes salons abritent l'actuelle Bibliothèque Municipale.
La maison de l'Avé Maria doit son nom au thème de l'Annonciation développé sur ses piliers ( Archange Gabriel, vase de lys, Vierge en prière...)
Maison natale de Sainte Sopie Barat (1779-1865).
Cette religieuse fut à l'origine de la création de l'Ordre de la « Congrégation du Sacré Cœur ». Les toits des maisons nous rappellent que nous sommes bien en Bourgogne.
Cette fontaine, originale, est bien jolie.
La porte Saint-Jean, d'architecture militaire du XIe siècle est un vestige de la première enceinte autour du château.
Juste derrière, l'église Saint-Jean, la plus ancienne des églises de Joigny, détruite en 1396, fut reconstruite au XVIe siècle. Le château Renaissance,dit « Château des Gondi », édifié entre 1569 et 1608, porte la marque des différentes étapes de sa construction.
Le corps de logis présente au nord une façade aux décors rythmiques de pur style Renaissance, au sud une façade plus sobre dans le style privilégié sous Louis XIII, le pavillon carré offre un décor maniériste. Tour de l'ancienne enceinte du château fort datant du 11e siècle.
L'église Saint-André est à l'origine celle du Prieuré Notre Dame fondé en 1080.
Le linteau sculpté d'une des portes représente les trois épisodes de la vie de saint André. De superbes vitraux Renaissance dont la parabole des «vignerons homicides», éclairent sa large nef. Cette église, comme les autres, fera l'objet d'un article. Maison natale de Marcel Aymé (1902-1967).
Cet écrivain très connu fut tour à tour romancier, nouvelliste, dramaturge et journaliste. Il était le dernier des six enfants d'un maréchal ferrant. L'Hôtel de Guidotti fut construit en 1610, à la demande de Louis de Guidotti, Gouverneur du Comté.
Caché derrière son portail encadré de deux tourelles «en poivrière», le bâtiment central, après restauration, a gardé son caractère original du XVIIe siècle. Dans la maison adjacente de cet hôtel, côté droit, saint Vincent de Paul aurait séjourné alors qu'il était précepteur des enfants de Philippe Emmanuel de Gondi, Comte de Joigny.
En fin de balade, nous nous attardons sur le port de Joigny.
Il est situé juste à côté de "Picsou ville" (voir l'article sur ce lien). |
Joigny est une commune située dans le département de l'Yonne et dans la région de Bourgogne.
Vous entrez dans la ville et, juste à l'entrée, vous vous garez sur le parking situé à votre gauche lorque vous arrivez de Migennes. Un jolie fontaine vous accueille et le marché commence non loin des halles. Lors de notre dernier voyage en Bourgogne, nous nous sommes baladés sur le marché de Joigny, qui est un marché comme tant d'autres. De nombreux étalages se succèdent.
Même les pêcheurs y trouvent leur bonheur, en effet, l'Yonne est juste à côté.
Il faut penser au soleil qui commence à chauffer dans la campagne bourguignonne.
J'ai toujours eu une préférence pour ce genre de Panama.
Nous entrons dans les halles.
Le miel de la région est présent ainsi que.. ...le pain d'épice.
Voici une espèce d'aubergine que je ne connais pas. Les vins de Bourgogne.
Les jardiniers sont au paradis et les plants à repiquer sont magnifiques.
Plusieurs poissonneries sont ouvertes mais j'ai bien aimé cette présentation bien en rapport avec le poisson.
Les bouquets de fleurs vont faire des heureuses.
Les pommes de terre nouvelles sont magnifiques.
J'ai gardé le meilleur pour la fin.
Une des grandes spécialités de Joigny et de ses environs est le fromage. Il en existe de toutes les sortes.
Nous avons eu l'occasion d'en goûter tout au long de notre séjour.
Et notre plus grand regret est de ne pas avoir prévu de glacière pour remonter en Lorraine.
Le chaource est un vrai délice.
Je ne pouvais pas finir cet article sans un petit réconfort...
Bon dimanche. |
Nous sommes rentrés ce soir de notre balade dans l'Yonne... ...un peu fatigués.
Je vous souhaite une bonne soirée. |
Toujours dans ma série mes ronds-points, je vous présente un deuxième rond-point situé à Migennes dans l'Yonne, le rond-point de Bourgogne.
Pourquoi rond-point de Bourgogne?
Car les escargots de Bourgogne sont un mets gastronomique traditionnel de la cuisine bourguignonne.
Sympa cet escargot! |
Dans ma série mes ronds-points, je vous présente le rond-point du tour de France.
Je l'ai photographié à Migennes, commune située dans le département de l'Yonne, où nous passons quelques jours de vacances.
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Joigny est une commune située dans le département de l'Yonne et la région Bourgogne.
Je vous en parlerai plus longuement plus tard. Aujourd'hui, je vous emmène faire un drôle de voyage. Je vous emmène visiter "Piscou ville". Vous connaissez tous Oncle Piscou, le célèbre Oncle de Donald. Eh bien, nous avons eu la chance de visiter sa ville. Des gardes armés sont aux portes de la ville et ne laissent passer que les invités. Le ton est donné, toute la famille est là.
Donald se permet une sieste sur la plage...
...mais Riri, Fifi et Loulou ne sont pas loin.
Voici le restaurant de "Picsou ville".
La table est bonne et l'on se bouscule pour avoir la meilleure place.
Qui sera le premier au buffet des desserts?
Oh! Malheur! Les frères Rapetou arrivent...
Il va y avoir du grabuge... Eh oui! Ils sont imposants...
...et, en un rien de temps, ils dévalisent le restaurant.
Ouf! Les Rapetou sont partis vers d'autres aventures.
Il est temps de dormir. L'hôtel de "Piscou ville" est complet! Tant pis, nous dormirons un peu plus loin.
Nous repassons les portes, qui sont toujours aussi bien gardées. Au revoir Oncle Piscou et Donald. À bientôt! |