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LA GUILLAUMETTE
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Blog créé le 31/08/2007

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Le chou de Bruxelles est une variété de chou qui forme de petites têtes pommées. C'est un légume d'hiver. Roger est allé à la motte pour faire la cueillette. Il faut commencer par cueillir les choux du bas qui sont les plus avancés. La récolte est belle, il va falloir s'en occuper!

Pour commencer, je vous propose cette recette. J'ai accompagné ces choux de Bruxelles de filets de porc cuisinés à la charcutière.




- 2 filets de porc
- 1 oignon
- du vin blanc sec de cuisine
- quelques cornichons
- un peu de bouillon de volaille
- 1 cuillère à soupe du vinaigre des cornichons
- 1 cuillère à soupe de moutarde
- huile d'olive
- sel et poivre

Pour l'accompagnement : 

- des choux de Bruxelles
- quelques petites pommes de terre
- 1 gousse d'ail
- du persil haché


1 - Faire cuire les pommes de terre (variété Amandine) une dizaine de minutes au micro-ondes. C'est un sachet tout prêt que je trouve habituellement chez Lidl. Je vous en ai déjà parlé dans un article précédent. C'est très pratique! 


2 - Nettoyer les choux de Bruxelles pour enlever les feuilles abimées et fanées. Les laver et les faire cuire à la vapeur ou bien dans de l'eau bouillante salée. Puis les égoutter.

Reportez-vous à cet article pour savoir comment cuire un chou sans odeur.


3 - Dans une sauteuse, faire revenir dans un peu d'huile d'olive les filets de porc. Ajouter l'oignon émincé et laisser bien dorer pour que la sauce ait ensuite bon goût.



4 - Mouiller avec le vin blanc et le vinaigre. Ajouter un peu de bouillon de volaille, les cornichons coupés en rondelles, la moutarde. Saler et poivrer. 

5 - Mélanger et cuire à feu doux une vingtaine de minutes.


6 - Pendant ce temps, éplucher quelques pommes de terre et les faire revenir dans un peu d'huile d'olive. Les réserver et réchauffer les choux de Bruxelles.


Servir et déguster....


Pour ne pas perdre la belle récolte de Roger, j'ai congelé le restant de choux de Bruxelles.

Je les ai blanchis en les plongeant dans de l'eau bouillante pendant 3 minutes. Je les ai égouttés, séchés et disposés dans 2 sacs de congélation.



Quand le chou cuit, il libère des odeurs qui ne plaisent pas à toutes les narines. 

Pour atténuer cette odeur, placez sur le couvercle de votre récipient un morceau de tissu ou une épaisse boule de mie de pain imbibés de vinaigre. 

Une autre solution : mettre 2 ou 3 clous de girofle dans l'eau de cuisson.   

A propos, n'oubliez pas aussi de mettre votre hotte en marche!



Dimanche, nous étions invités chez des amis et lorsque la maîtresse de maison apporta le dessert, je fus très rapidement intriguée par un drôle d'objet planté verticalement dans le gâteau.... c'était une sorte de pipette qui contenait un liquide d'un beau brun clair...  


... elle se terminait par un petit tuyau. Vous avez trouvé... 
Il s'agit bien d'un baba au rhum très "fashion" avec ses 4 pipettes (c 'est normal, on était 4 à déguster ce merveilleux dessert) !!!!!! C'est la classe....

L'injection au dernier moment d'une petite dose revigorante de rhum lui évite de sombrer dans la brioche trempée. C'est souvent le défaut du baba.... 

Mais au fait, connaissez-vous l'origine du baba au rhum? En cherchant dans le Larousse Gastronomique, voilà ce que j'y ai lu.

Le baba est un gâteau de pâte levée, parfois additionnée de raisins secs et imbibée, après cuisson, d’un sirop au rhum ou au Kirch.

La création du baba serait due à la gourmandise du roi de Pologne Stanislas Leszczynski (1677-1766), exilé en Lorraine. Trouvant le kouglof trop sec, il imagina de l’arroser de rhum. Lecteur assidu des Mille et Une Nuits, il aurait baptisé cet apprêt du nom de son héros favori, Ali Baba.

Le gâteau eut un grand succès à la cour de Nancy. Le pâtissier Stohrer qui y avait séjourné, perfectionna la recette et en fit la spécialité de sa maison de la rue Montorgueil, à Paris, sous le simple nom de "baba".

Vers 1850, des pâtissiers s’inspirèrent du baba pour créer le "friboug" à Bordeaux, le "brillat-savarin" (qui devint le savarin) à Paris. 

PS : les photos ne sont d'une super qualité. Je les ai prises avec mon téléphone portable. Pour une fois que je n'avais pas mon APN... Etonnant, non?



A la fin de notre visite du musée des petits commerces d'autrefois de Rochefort, nous sommes passés par la boutique. 
Celle-ci propose aux visiteurs un large choix d'objets et en particulier des affiches anciennes.

Roger m'en a offert pour compléter la décoration des murs de notre cuisine. Comme le format des affiches n'était pas courant, je les ai données à encadrer à Royan chez "Point Cadres".

Les voici accrochées....


Ca me plaît bien....


Une plaque en métal a aussi pris place près de mon tableau pense-bête!



C'est avec cet article que je termine de vous parler de ma visite au musée des petits commerces d'autrefois de Rochefort.

Souriez! vous êtes chez le photographe

Bien qu'encore récente au début du XXème siècle, la photographie se développe rapidement tant sur le plan technique que social.

Des riches bourgeois des villes aux modestes paysans, tous sollicitaient le photographe pour les baptêmes, communions, mariages ou tout simplement pour des portraits de famille.


Le photographe devait avoir plusieurs compétences. Outre les complexités de la prise de vue, le photographe doit faire des préparations chimiques pour les négatifs, leur développement et le tirage papier des photographies.

De plus, il devait aussi savoir retoucher les portraits pour leur donner un aspect "artistique" plus proche de la peinture.     


Au bazar, ancêtres des drogueries-quincailleries modernes, on trouve tout ce que l'on veut...

On y trouvait une multitude d'ustensiles domestiques comme les pots en émail, la vaisselle, les brocs et tout ce qui servait dans une cuisine ou une maison.

Il s'y vendait également les produits de droguerie et d'entretien, insecticides, lampes, balais, lessive, savon, pétrole, cire, .....


Au début du XXème siècle, le forgeron est un personnage essentiel dans chaque village. Il était aussi maréchal ferrant et dans certains cas, cloutier, serrurier, charron ou taillandier.

Le charronage était l'art de fabriquer et d'entretenir les roues en bois cerclées de fer. 

Le forgeron ferrait les chevaux, les boeufs, les mules et les ânes. Il faisait aussi office de "soigneur" et veillait sur la bonne santé de ces animaux. 
Il fabriquait et réparait les outils agricoles, les socs de charrue, forgeait les roues et les cercles de barriques, ....


Le cordonnier hérite du savoir-faire du sabotier qui pendant des générations, a chaussé "les petites gens". On trouvait encore dans les campagnes en ce début du XXème siècle des paysans en sabots. Mais c'est la galoche et les bottes en cuir qui étaient le plus répandues.

Dans les villes, les gens plus aisés avaient des chaussures fabriquées sur mesure. Moins solides, elles demandaient plus d'entretien que les galoches. De plus, le cordonnier fabriquait aussi des objets en cuir comme les ceintures ou les sacs. 


Le kiosque à journaux est le dernier petit commerce visité. 

Au début du XXème siècle, le journal était le moyen le plus simple pour s'informer.
Le premier vrai journal français, La Gazette, est publié en 1631 et le premier quotidien, Le Journal de Paris, en 1777. La presse en est alors à ses balbutiements et c'est avec la révolution qu'elle s'émancipe un peu.    
Mais ce n'est véritablement qu'à la fin du XIXème siècle, que la presse se popularise.

Les progrès de l'imprimerie et l'emploi de la publicité vont faire baisser le prix des journaux. C'est alors la naissance des quotidiens à grand tirage. 
Ce n'est plus seulement de politique que l'on parle mais de faits divers illustrés, de romans feuilletons écrits par des grandes plumes de l'époque. 

Ainsi l'entre deux guerres voit le succès grandissant de la presse périodique et des magazines illustrés de photographies.


Quelle magnifique visite au cours de laquelle nous avons retrouvé tous nos souvenirs d'enfance et ceux de nos parents!
L'architecture de ce bâtiment se prête à merveille pour accueillir toutes ces vieilles choses du passé.
Bravo à ces passionnés pour le travail accompli et merci de le partager avec nous.

Si vous voulez tester vos connaissances sur le musée, suivez ce lien et répondez à ce quizz !


A la fin de la visite, nous sommes passés par la boutique du musée qui offre un large choix de cartes postales, plaques publicitaires, répliques d'affiches, ... 
Roger m'a offert 3 affiches pour décorer ma cuisine. J'attendais qu'elles soient encadrées pour vous les montrer.



De retour de notre balade à Rochefort, nous nous activons pour préparer notre repas de Nouvel An. Cette année et pour une fois... pas de grande cuisine... Je veux dire par là que je n'ai pas passé des heures en cuisine pour préparer notre repas de réveillon. Nos amis n'ont pas voulu et nous avons privilégié les balades tous les quatre, ce qui était bien plus sympa pour moi....

Nous avions commandé de la bonne viande à fondue chez notre boucher et Martine préparait la part de chacun... Tout est pesé au gramme près, pas de jaloux!!!!


Côté salon, les "mecs" mettent de l'ambiance.... duo de guitares!


Les "PROS" jouent même à 3 mains....


Nous trinquons... le ton de la soirée est donné!


Huitres pour nous deux et saumon fumé pour Martine et Pat.
Mon foie gras maison pour tout le monde....


A minuit, les enfants nous ont téléphoné et nous allions seulement commencer à manger la fondue bourguignonne....
Vacherin glacé en dessert avec un coulis de fruits rouges...

Et voilà une superbe soirée entre amis qui a pris fin vers 4 heures du matin.... Que des beaux souvenirs!



Je vous emmène pour la suite de la visite du 1er étage du musée des petits commerces d'autrefois à Rochefort.
Je vous rappelle les liens vers les articles précédents : 1ère partie et 2ème partie.

Nous découvrons le salon de coiffure aux odeurs mélangées d'eau de Cologne et de brillantine
.
Le métier de coiffeur apparut au XVIIème siècle et se développa rapidement grâce à la mode des perruques.

Au début du XXème siècle, le coiffeur était barbier, parfumeur, posticheur, masseur façial, manucure et louait des perruques ou des postiches pour aller au bal ou au théâtre.
Il vendait les produits pour coiffure, barbes et parfums, mais aussi de la brosserie, des cravates, des cols, des bretelles et des jarretières.  


La boucherie

Au début du XXème siècle, la viande reste encore un aliment de luxe pour la majorité des gens. C'est avec les progrès dans le domaine de la conservation des aliments que les habitudes alimentaires vont évoluer. 
L'électrification des villes et des campagnes va entraîner un changement radical dans la conservation de la viande. Les chambres froides vont petit à petit remplacer les glacières. 


Dans les campagnes, l'élevage des ovins et des bovins et "la traditionnelle cuisine du cochon" font que la viande va être davantage consommée. Les bouchers connaissant l'art de découper et préparer la viande. Ceux-ci ne vendaient que des produits "maison".
Puis de grandes enseignes comme "Olida" ou "Géo" commencèrent à commercialiser des produits préparés.  


La boulangerie-pâtisserie est un commerce prospère au début du XXème siècle. Même dans les petits villages, il n'était pas rare qu'il y ait plusieurs boulangers.



Longtemps réservée à une élite, la pâtisserie est un commerce plus récent que la boulangerie car il n'a pas un caractère de nécessité. 
A cette époque, les pâtissiers-chocolatiers ve vendaint pratiquement que leur fabrication et avaient chacun leurs propres recettes.

Certaines pâtisseries faisaient aussi salon de thé. On pouvait y déguster des gâteaux et biscuits maison mais aussi du chocolat, des confiseries et des crèmes glacées.   


Nous arrivons au 2ème étage et la visite se poursuit avec la repasseuse qui a fort à faire avec toutes ces dentelles si fragiles.


A demain pour la dernière partie....



C'est en feuilletant un des magazines "Pleine Vie" que nos amis Martine et Patrice nous ont laissés que j'ai découvert cette recette. Les fêtes sont passées mais je pense qu'elle aurait pu être au menu d'un des repas de Noël ou Nouvel An.

C'est très simple et rapide! Cette recette est pour deux personnes.


- 3 clémentines juteuses (pour moi des clémentines de Corse)
- 1 magret de canard fumé tranché
- 2 cuillères à soupe d'huile d'olive
- sel, fleur de sel et poivre
- un bouquet de mâche pour décorer (je n'en avais pas, le persil a remplacé la mâche...) 


1 - Couper une clémentine en deux et la presser. Peler les deux autres et découper chaque quartier en deux dans le sens de la longueur.

2 - Faire une vinaigrette en mélangeant au fouet une pncée de sel, le jus de la clémentine et l'huile d'olive.   


3 - Monter le carpaccio en intercalant les tranches de magret et de clémentines. Assaisonner d'un peu de vinaigrette. Ajouter un bouquet de mâche (que je n'avais pas!). Assaisonner de fleur de sel et de poivre.


C'est très fin! Nous avons beaucoup apprécié.

Cette recette est proposée par le chef Fabrizio La Mantia du restaurant "Sensing" situé dans le 6ème arrondissement de Paris.

Suggestion : Je vous rappelle qu'il est possible de faire vous-même votre magret séché. Rien de plus simple! Voici la recette en suivant ce lien
Tiens, j'ai un magret au congélateur. Je vais en préparer un....



Après la visite du sous-sol du bâtiment (lien vers article), nous arrivons au rez-de-chaussée et découvrons la devanture du Bar du théâtre.

Cette devanture du début du XXème siècle était l'une des dernières de la ville de Rochefort. Elle a été acquise de justesse auprès du démolisseur en 1989. Sauvée de la destruction, elle était en très mauvais état lorsque Christine et Jean-François (les fondateurs du musée) l'ont démontée et stockée.
Après un gros travail de décapage, elle a été remontée et repeinte avec les couleurs d'origine découvertes lors du décapage.


Il était une époque où la radio et la télévision n'existaient pas. Le travail était souvent difficile et les loisirs actuels inexistants.
Donc, aller au café, au bistrot ou au bar était une des seules distractions.


On y allait pour rencontrer des amis, discuter, jouer, lire le journal. Ces lieux étaient fréquentés par les hommes car les femmes étaient à la maison et s'occupaient des enfants....
Mais il ne faut pas oublier que la vocation première du bar était de vendre des boissons alcoolisées. Et l'alcoolisme devînt un véritable fléau à partir de la moitié du XIXème siècle. L'absinthe (70%) surnommée la fée verte, cristallise ce fléau.


La chapellerie et la modiste avec ses chapeaux en feutre faits sur mesure...

Au début du XXème siècle, on sortait avec chapeaux, gants, faux-cols et même cannes et ombrelles.

Dès le début des années 1900 et avec la suppression du corset cambré, le vêtement de la femme se fait moins contraignant. Après la 1ère guerre mondiale, la femme s'émancipe. Les femmes ont de moins en moins de temps à consacrer à leur garde-robe. Elles s'habituent aux vêtements fabriqués en série et plus sobres.  


La teinturerie

A l'origine, les teintures étaient pour la plupart à base de végétaux : pissenlit, sureau, oseille, bouleau. L'invention des colorants synthétiques ne datent que du XIXème siècle.
Au début du XXème siècle, les teintures étaient peu nombreuses. Le lavage du linge de maison et des habits de tous les jours se faisaient aux lavoirs.
Par contre, on faisait appel aux teinturiers pour entretenir le linge et les vêtements précieux ainsi que les "vêtements du dimanche" ou ceux "passés de couleur".
Cet atelier reconstitué est complet et rarissime. 


Lors d'un deuil, lorsque l'on n'avait pas les moyens de changer sa garde-robe, une partie des vêtements était teinte en noir.


La librairie où se cotoient livres, crayons, cahies, encres, ..... 


Au premier étage, en haut de l'escalier se trouve l'épicerie, ancêtre des supermarchés.


Sur ces étagères sont posées de nombreuses boîtes de Banania, Bouillon Ku, Chicorée Leroux, .....


La graineterie dont les meubles aux couleurs jaune et bleu des Graines Elite Clause, regorgent de semences et d'engrais. Ce n'est que plus tard qu'apparaîtront les sachets déjà préparés.  


Anciennement, les graines ou semences de fleurs, légumes et céréales étaient vendues au détail suivant le poids désiré.
En campagne, le grainetier était un commerçant indispensable car il fournissait en plus des semences, des outils et du matériel agricole.


Les cafés FREDDY (marque rochefortaise).

Le café, arrivé au XVIIème siècle en Ocident, était tout d'abord réservé à une élite. Il devint peu à peu un produit de consommation courante.

Au début du XXème siècle, il s'achetait au poids et était vendu en grains.  


A demain pour la suite de la visite si cela vous intéresse.....



Meursac était dans le brouillard toute la journée.  








Pour Françoise du blog "Chez Françoise"...... 



Pour celles qui ne cuisinent le chou rouge qu'en salade, lisez attentivement cette recette et n'hésitez pas à vous lancer car vous serez agréablement surprises!
Je cuisine le chou rouge ramené par Roger de la motte.


- 1 chou rouge
- 1 barquette de dés de lardons
- du jambon cru ou de la poitrine fumée
- 1 boîte de marrons entiers au naturel
- 200ml de vin blanc de cuisine
- 2 pommes
- 2 oignons
- jus de citron
- sel et poivre
- chapelure
- quelques noisettes de beurre




1 - Nettoyer le chou, le couper en quartiers, le laver. Puis recouper les feuilles en enlevant au maximum les côtes. Faire macrer dans le vin blanc pendant une heure.


2 - Peler et hacher les oignons. Peler les pommes, les couper en quartiers et les citronner. Couper le jambon ou la poitrine fumé.

3 - Dans une poêle, faire revenir les dés de lardons. A jouter le jambon ou la poitrine fumée puis les pommes et les oignons. Faire revenir le tout. 

4 - Ajouter les marrons.  


5 - Faire cuire le chou rouge à couvert pendant 20 minutes avec le vin blanc.

6 - L'égoutter et le verser dans un plat à gratin beurré. Ajouter la préparation à base de lardons, oignons, ....., marrons, ..... Saler et poivrer.


7 - Saupoudrer de chapelure et parsemer le dessus du plat de morceaux de beurre.

8 - Cuire à four chaud (200°) pendant au moins une heure. Le chou doit être fondant, c'est meilleur!


C'est délicieux! Accord parfait avec les marrons et les pommes.... A refaire!





Ceci concerne surtout les gens qui ont un jardin.....
Ceci est un avis de police important!

Soyez vigilants et transmettez-le pour prévenir vos connaissances.
Prenez ceci au sérieux car de tels cambrioleurs doivent être pris sur le fait.

Gardez portes et fenêtres fermées. Il s'agit d'un duo aguerris de cambrioleurs!
Si vous les apercevez, prévenez la police! 

Merci Anne-Marie pour cette petite histoire toute mignonne!





Avec nos amis Martine et Patrice, nous sommes allés passer la journée du 31 décembre à Rochefort. Après un petit restau "pizzéria", nous décidons de nous rendre au musée des petits commerces d'autrefois. Depuis le temps que je voulais aller le visiter, je suis contente que mon idée soit retenue et enchante tout le monde. 

Ce musée se situe au 12 de la rue Lesson, en plein centre ville. Je vous invite à me suivre pour voyager dans le temps à l'époque des petits métiers et des boutiques. Vous allez découvrir le charme des commerces 1900.

Comme l'exposition s'étend sur 1000 m², dans un ancien entrepôt du XIXème siècle sur 4 niveaux, je vais vous présenter cette visite en plusieurs parties. 


Ce muse est privé et il a été ouvert en 1990. Il est né d'une folle aventure, celle de Christine et Jean-François BOURBIGOT, deux passionnés par ce que l'on appelait à l'époque, de vulgaires vieilleries....

Ils ont acheté un viel entrepôt de quincaillerie à la magnifique façade de pierre, métal et verre pour y exposer leurs trouvailles.  Ils ont créé ce musée pour partager avec nous leur univers et leur passion. La tâche a été énorme. C'est une véritable réussite.... 


La visite commence par le sous-sol du bâtiment. Une exposition est consacrée au cognac, avec la distillerie et son alambic charentais traditionnel.     


La période pour distiller est courte car dictée par le temps de fermentation du raisin. Il n'est pas rare de distiller pendant 2 à 3 semaines sans interuption.

Le bouilleur, personne qui distille, doit surveiller sa chauffe de jour comme de nuit pendant toute cette période. C'est pour cette raison que le lit est placé près de l'alambic.

Sur le côté du lit se trouvent les ustensiles nécessaires à la distillation : alcoomètre, thermomètre, un livre de tables de corrections alcoométriques et des topettes qui permettent les prélévements de cognac. 




Nous découvrons également une exposition sur "La Vache qui Rit" qui fête ses 90 ans. 

"La Vache qui Rit" est une histoire de famille.

En 1865, Jules Bel décide de s'installer à Orgelet, petite cité comtoise  de caractère et fonde une petite entreprise spécialisée dans l'affinage  de fromages de Comté.
Devant le succès grandissant de la fromagerie, l'entreprise familiale est transférée à Lons-le-Saunier et confiée aux deux fils de Jules Bel, Henri et Léon.
Démobilisé en 1919, Léon Bel  rentre à Lons-le-Saunier et décide de miser sur l'invention d'un nouveau  fromage moderne et original, en utilisant une nouvelle technique de  fonte.
La marque "La vache qui rit"  est déposée le 16 avril 1921 et l'aventure commence.



Et saviez-vous que la première tête de vache est le résultat d'un concours gagné par Benjamin Rabier?
La  consigne de ce concours : "Présenter une vache qui tout en ayant l'expression du rire n'en reste pas moins une vache".

Léon Bel  rajoute deux modifications au dessin de Benjamin Rabier, la couleur rouge et des boucles d'oreilles en forme de boites de La vache qui rit. Le tour est joué, une star est née !



A demain pour la suite de la visite.....



Dans un programme télé, j'avais découpé une offre des Editions Atlas pour recevoir des fiches recettes "Biscuits et petites douceurs". 

L'offre était alléchante : 2€99 pour recevoir lors du premier envoi, 60 fiches recettes, une boîte métallique, le jeu de 8 intercalaires et un emporte-pèce. 

Le colis est arrivé ces jours-ci. La boîte métallique étant en rupture de stock, doit arriver ultérieurement... 


C'est très tentant car le prix est dérisoire! Le montant du prochain envoi n'est déjà plus le même : 6€90 + 1€75 de frais de port....

Mais ce qui est pratique, c'est que l'on peut arrêter la collection à tout moment ! ce que je compte faire rapidement.... 



Nous voici à peine remis des fêtes de fin d'année que nous fêtons avec gourmandise l'Epiphanie. A cette occasion, nous avons invité nos amis royannais Geneviève et Daniel.

Pas question d'acheter une galette alors qu'il est si simple d'en préparer une. Quelle bonne idée! c'est tellement meilleur... Je n'ai pas innové car je l'ai faite à la frangipane en suivant cette recette qui est déjà sur mon blog. 
Pour celles qui voudraient innover, sachez que vous pouvez la décliner aux pommes, aux poires et chocolat, aux framboises, .... 
Il y en a pour tous les goûts! 


J'ai profité de l'occasion pour étrenner mes magnifiques ronds de serviette reçus à Noël.


Pour accompagner notre galette, rien de tel qu'un bon verre de cidre!


Nous avons "notre reine"... c'est Danièle!

VIVE LA REINE!



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