LES BONS RESTAURANTS

Notre balade à Figeac nous a amenés à pousser les portes de l'église Saint-Sauveur!

Aujourd'hui, faisons le tour des vitraux!

Vous pouvez voir ou revoir notre découverte de Figeac depuis le début en cliquant sur ce lien.

Cliquez sur les photos pour les agrandir!

L'ensemble des vitraux de l'église fut posé en 1872 par l'atelier Villiet de Bordeaux.

Des scènes de la vie de Saint-François d'Assise, de la Vierge et du Christ y sont illustrés.

Certains vitraux sont liés à la vie rurale avec des scènes de labour, de moisson et de vendanges.

Dans les bas-côtés, deux vitraux content les légendes de la fondation de Saint-Sauveur et de sa construction.

Les vitraux de la nef symbolisent les saintes, saints et pères de l'Église avançant en procession vers le choeur.

Dans le choeur, l'accent est mis sur la Rédemption et la Résurrection du Christ...Adam et Éve chassés du Paradis terrestre.

Les vitraux ont ceci de particulier, c'est de raconter notre histoire!

À demain!

Dans ma série mes voyages, ma lecture, je vous présente, aujourd'hui Guillaume Prévost à travers deux livres:
-"Le Mystère de la chambre obscure", où un Jules Verne de 27 ans traque un tueur photographe dans le Paris de 1855.
-"Le quadrille des maudits" qui reçut le prix Messardière du roman de l'été en 2012.

Guillaume Prévost est né le 11 novembre 1964 à Tananarive à Madagascar. Après des études à l'École Normale Supérieure de Saint-Cloud et une agrégation d'histoire, il devient professeur dans l'enseignement secondaire.
Il écrit d'abord pour le théâtre avant de publier des romans policiers historiques.
Guillaume Prévost enseigne par ailleurs dans un lycée de la région parisienne.

Le mystère de la chambre obscure!

Présentation de l'éditeur:

Paris, 15 août 1855.
Félix de Montagnon, reporter au Populaire, et son ami Jules Verne, jeune écrivain encore inconnu, assistent à une séance de spiritisme.
À la fin de celle-ci, le médium Gordon est assassiné d'une balle dans chaque œil.
À ses côtés, une serviette remplie de faux billets et le cache d'un objectif photographique.

Bientôt, d'autres crimes sont perpétrés.
Chaque fois l'assassin laisse près de ses victimes des indices qui sont autant d'énigmes.
Intrigués, les deux jeunes gens vont alors se plonger dans une enquête tortueuse qui va les conduire du Père-Lachaise à l'Exposition universelle, du laboratoire secret d'un savant fou aux alcôves d'une maison close.

Expériences occultes, fausse monnaie, trafic de cadavres se mêlent dans ce drôle de drame, où le jeune Jules Verne joue les grands détectives.

J'ai beaucoup aimé me plonger dans ce roman policier où l'on apprend beaucoup de choses sur la photographie au 19e siècle siecle ou l'on retrouve un Jules Verne en detective ...un vrai bonheur!

Le quadrille des maudits!

Présentation de l'éditeur:

Les Maudits, le thriller à la mode, enflamme les cinémas parisiens : chaque nouvel épisode de ce feuilleton cinématographique, l'ancêtre de nos séries télévisées modernes, en somme, produit quasiment en temps réel, attire des foules de plus en plus nombreuses.

Mais voilà qu'un assassin se met à confondre fiction et réalité : il poignarde des jeunes femmes en pleine séance - des blondes exclusivement -, imitant point par point les acteurs à l'écran, leur mode opératoire et les péripéties du scénario...

Très vite, les soupçons des policiers se tournent vers le monde animé des studios de Vincennes, où l'usine à rêves ressemble de plus en plus à une fabrique de crimes en série.
À la tête de l'enquête, le jeune inspecteur François-Claudius Simon comprend que s'il veut débusquer le tueur des salles obscures, il va devoir faire lui aussi un peu de cinéma...

En plein désarroi personnel, il n'a pourtant ni le cœur ni la tête à ça.
Son amante, la sublime Elsa, a disparu du jour au lendemain, son passé d'orphelin - qu'il a toujours soigneusement évité d'affronter - le rattrape brutalement, et son ex-fiancée, avec qui il n'est pas tout à fait certain d'avoir réussi à tourner la page, réapparaît dans sa vie de la pire des manières : comme numéro 1 sur la liste des suspects...

J'ai retrouvé, dans ce livre, le style agréable et enlevé de Guillaume Prévost!
Si vous voulez des idées pour vos lectures de cet été...N'hésitez plus!

Bonne lecture!

Les petits paniers de tomates ont toujours beaucoup de succès et les idées ne manquent pas pour farcir ces fruits bien rafraîchissants!

Aujourd'hui, je cuisine des paniers de tomates aux radis et oeufs durs!

Les ingrédients pour cette recette:
(4 personnes- préparation 15 minutes- cuisson 10 minutes)

-4 tomates
-1 botte de radis
-2 oeufs
-ciboulette
-1 càs de moutarde à l'ancienne
-2 càs d'huile d'olive
-2 càs de vinaigre
-sel, poivre

Lavez, et découpez les tomates pour en faire de jolis petits paniers!
Il peut, même, vous arriver de vous amuser à réaliser des anses de paniers différents!

Prenez un saladier et préparez la vinaigrette.

Faites cuire les oeufs pendant 10 minutes.
Écalez-les.
Écrasez les jaunes et réservez-les.
Coupez les blancs en petits dés.
Nettoyez, lavez et coupez les radis en fines lamelles.

Mettez les radis et les blancs d'oeufs dans le saladier avec la vinaigrette et mélangez.

Remplissez les tomates avec la préparation aux radis.
Saupoudrez le dessus de vos paniers avec les jaunes d'oeufs et la ciboulette finement ciselée.

Dressez votre plat et servez bien frais!

Bon appétit!

Vous pouvez retrouver d'autres idées légumes sur ce lien.

Vous pouvez retrouver d'autres idées "entrées" sur ce lien.

Figeac possède de belles enseignes mais Marc et moi avons craqué pour celle-ci!
Nous n'avons pas pu nous empêcher de l'appeler "enseigne gourmande"!

Vous pouvez voir d'autres enseignes sur ce lien.

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L'église Saint-Sauveur de Figeac est une église abbatiale dont les parties les plus anciennes datent du 11e siècle!

Depuis quelques jours nous vous faisons découvrir ce magnifique bâtiment qui a conservé, dans son ensemble, son plan primitif!

Aujourd'hui, je vais vous parler de l'ancienne salle capitulaire de cette ancienne abbaye!

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La salle capitulaire, aussi appelée salle du chapitre, est le lieu où se réunit quotidiennement la communauté religieuse d'une abbaye.

Au fond du transept sud s'ouvre la salle capitulaire construite vers 1250.
Durant la longue période des travaux des 17e et 18e siècle, l'office y est célébré.
La salle capitulaire devient chapelle au 17e siècle sous le nom de Notre-Dame-de-Pitié.

Sous la Vierge de Pitié est représentée la Cène sur le devant d'autel.

Le décor de bois sculpté et peint du mur date du 17e siècle.
Il est l'oeuvre des Delcaux, famille de sculpteurs figeacois.

Ce programme iconographique dédié à la Vierge répond au souhait d'émouvoir de la Réforme catholique.

Son statut de lieu de culte lui confère, également, de recevoir un véritable décor de maître-autel!

Le mur de la chapelle est orné de petits panneaux consacrés à la Passion du Christ.

Et les ouvertures ont été remaniées au 19e siècle et donnaient jadis sur le cloître.

Cette chapelle est un petit bijou qu'il ne faut pas manquer si vous êtes de passage à Figeac!

À demain pour la suite de cette visite!

Colmar est une commune située au centre de l'Alsace, dans le département du Haut-Rhin.
Située au centre de l’Alsace, entre les deux autres grands pôles industriels que sont Strasbourg et Mulhouse, Colmar est une étape incontournable.

Alors que nous étions en balade dans ce petit coin bien sympathique de l'Alsace, nous nous sommes arrêtés au restaurant "Le Petit Bidon", situé 14 rue Étroite à Colmar, pour un déjeuner en semaine.

Une décoration champêtre faite de jolis petits bidons de lait a donné le nom à cette adresse simple et chaleureuse!

Le temps de choisir notre menu nous avons l'occasion de goûter à un savoureux bouillon de courgettes en guise d'amuse bouche.

Le menu de ce jour est composé d'une grillade de boeuf accompagnée de pommes de terre rissolées.....

.....ou de quenelles de poisson maison sur une choucroute et accompagnées d'une sauce au beurre blanc.

Une assiette de fromage nous permet de goûter à une belle palette de saveur.

Les plus gourmands ont choisi le dessert sucré, une mousse glacée au Kirsch  maison.

Un petit crème pour finir....Il faut noter que mon café est accompagné de bredeles, également faits maison.

L'accueil est cordial, les repas goûteux et la cuisine faite maison....tout est réuni pour retenir cette adresse gourmande!
Quentin, le sommelier, n'a pas son pareil pour conseiller le vin qui accompagnera le repas.

Nous avons beaucoup apprécié la qualité de l'accueil et de la cuisine. Nous aurons certainement l'occasion d'y revenir lors d'un prochain passage à Colmar.

Nous vous conseillons vivement ce restaurant.

Vous connaissez, à présent, les bruschettas....
Vous savez, ces petites tartines italiennes qui constituaient, naguère, l’ordinaire des paysans transalpins.

Voilà pourquoi le vendredi je réalise un pain cocotte....c'est pour faire des bruschettas le samedi!

Aujourd'hui, je cuisine les bruschettas aux tomates, olives, basilic et parmesan.

Les ingrédients pour cette recette:
(6 personnes- préparation 10 minutes- cuisson 5 minutes)

-un pain cocotte coupé en tranches
(un pain au piment d'Espelette pour moi (voir la recette sur ce lien))
- 4 tomates
-100g de parmesan
-1 gousse d'ail
-100g d'olives vertes
-quelques feuilles de basilic
-huile d'olive
-sel, poivre

Coupez votre pain en tranches régulières.
Pelez lavez la gousse d'ail et frottez-la sur 6 tranches de pain.
Garnissez votre plaque de four d'un film de papier alimentaire.
Posez les tranches de pain par-dessus.
Versez un filet d'huile d'olive sur chaque tranche de pain.
Faites-les griller 5 minutes dans le four.

Pendant ce temps, prenez un saladier.
Lavez et coupez les tomates en petits dés.
Coupez les olives.
Coupez le parmesan en dés.
Hachez l'ail utilisé pour frotter les tranches de pain.
Ajoutez un filet d'huile d'olive.
Salez et poivrez.
Mélangez.

Sortez vos bruschettas du four et garnissez-les de la préparation précédente.
Saupoudrez-les de basilic finement ciselé.
Servez aussitôt.

Bon appétit!

Vous pouvez retrouver d'autres idées "bruschettas" sur ce lien.

Un grand merci à Fanfan du blog "Blog de la fontaine bleue" de penser à nous lors de ses voyages!

Des petits mots qui font plaisir....Des voyages qui font rêver!

Merci Fanfan.

Placée au bord des rives du Célé, l'abbaye St Sauveur fut à l'origine de la naissance de la ville.
Le premier noyau de population se forma autour d'elle lorsque Pépin Ier d'Aquitaine fonde l'abbaye en 838 sous la tutelle de l'abbaye de Conques.

Après avoir fait connaissance avec cette belle église je vous invite à découvrir quelques chapelles!

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Le plan est celui d'une église romane de pélerinage avec son déambulatoire permettant de circuler dans tout l'édifice, de voir et de prier devant les reliques des différents saints.

Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, également connue sous les appellations Sainte Thérèse de Lisieux est une religieuse carmélite née à Alençon le 2 janvier 1873 et morte à Lisieux le 30 septembre 1897.

Le retentissement de ses publications posthumes, dont Histoire d'une âme publiée peu de temps après sa mort, en fait l'une des plus grandes saintes du 19e siècle.

Cette église se compose d'une nef à collatéraux de sept travées.

Et des chapelles gothiques se situent entre les contreforts des collatéraux de la nef.

Les hautes baies du 14e siècle, presque seules à éclairer l’église depuis la construction des chapelles, s’ouvrent sous des voûtes d’arêtes qui les écrasent un peu.

L'église romane au départ a subi de nombreuses restaurations au cours des siècles.

Et les chapelles gothiques ouvertes entre les contreforts ont fait partie de ces travaux de restauration.

Nous avons été frappés par cet édifice composite et qui possède pourtant de nobles proportions

À demain pour une galerie de vitraux posés en 1872 par l'atelier Villiet de Bordeaux.

Le piment d'Espelette est un produit cultivé au Pays Basque dans le département des Pyrénées-Atlantiques et qui tire son appellation d'origine de la commune d'Espelette.

Aujourd'hui, je cuisine le pain au piment d'Espelette.

Les ingrédients pour cette recette:

-500g de farine
-300ml d'eau
-1 cc de sel
-1 paquet de levure sèche de boulanger
-1 oeuf
-2 càc de piment d'Espelette

Versez le contenu du sachet de levure sèche dans un bol.
Ajoutez 2 cuillères à soupe d'eau tiède et laissez reposer 15 minutes.

Mettez la farine, le piment d'Espelette et le sel dans le bol du robot.
Incorporez progressivement la levure ainsi que l'oeuf battu en omelette et l'eau jusqu'à obtenir une pâte souple.

Pétrissez pendant 1 minute à vitesse minimale puis 4 minutes à vitesse 1.
Couvrez votre bol d'un film alimentaire et laissez reposer votre pâton pendant 1 heure.

Au bout de ce temps pétrissez votre pâton à l'aide du crochet de votre robot afin de le dégazer.

Mettez une feuille de papier sulfurisé dans le fond d'une cocotte en fonte et disposez-y votre pâton.
Recouvrez-le d'un linge et laissez-le lever tranquillement.

Lorsque la pâte atteint le bord de la cocotte posez le couvercle sur la cocotte et mettez votre pain à cuire dans le four à 220° pendant 45 minutes environ (+ou- selon le four).

Bon appétit!

Vous pouvez retrouver d'autres idées pains et baguettes sur ce lien.

C'est lors de nos balades et nos voyages que l'on se prend à lever les yeux, à quêter le moindre détail qui fera que notre journée sera heureuse!

Aujourd'hui, c'est cette plaque de maison au numéro porte bonheur qui fera notre.....bonheur!

Vous pouvez revoir d'autres numéros de maison sur ce lien.

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Nous poursuivons notre balade à Figeac, cette cité située dans le département du Lot et que nous avons visitée lors de notre dernier voyage dans cette région!

Aujourd'hui, nous nous arrêtons devant l'église Saint-Sauveur afin de pénétrer tous ces secrets!

Installez-vous, je vais vous raconter une histoire!

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L'abbaye Saint-Sauveur a été fondée en 838 par le roi Pépin Ier d'Aquitaine à la demande de l'abbaye Sainte-Foy de Conques pour pallier son éloignement.
Ces deux abbayes devaient rester indépendantes mais avoir un abbé commun.

Comme les moines de Figeac ne supportaient pas cette autorité de l'abbaye de Conques, ils créèrent des faux pour faire remonter leur fondation à Pépin le Bref en 755, soit 40 ans avant la fondation de l'abbaye de Conques.

Pour se séparer définitivement de l'abbaye de Conques, les moines de Figeac élisent en 1074 comme abbé, Hugues de Semur, saint Hugues, abbé de Cluny.

Cette élection a provoqué un conflit entre les abbayes de Conques et de Cluny, évoqué à trois conciles, et résolu en 1096 au concile de Nîmes au cours duquel le pape Urbain II décida de rattacher de l'abbaye de Figeac à celle de Cluny.

À la suite de cette décision, il y eut un siècle de tranquillité.
Des restaurations importantes sont faites à la fin du 12e siècle.

Au 13e siècle un conflit va éclater entre l'abbaye et les consuls de Figeac.
Ces derniers, en 1240, refusèrent de payer les droits à l'abbé, de retenir l'habillement et la nourriture des moines.

Cette affirmation du pouvoir urbain face à celui de l'abbaye va entraîner un relâchement de la discipline, jusqu'en 1314, date où l'abbé de Cluny intervient pour reprendre en main l'abbaye de Figeac.

Au début du 15e siècle, l'abbaye est dans un état difficile et l'abbé s'en inquiète.
En 1438, a été entrepris des travaux de consolidation du transept et du chœur. Et à la fin de la guerre de Cent Ans, le prieur Aimery de Roquemaurel, futur abbé de Moissac, se plaint de l'état de ruine de l'abbaye.

Les huguenots prennent Figeac en 1576 et cherchent à abattre complètement l'abbatiale.
La paix retrouvée, les protestants vont rester maître de Figeac jusqu'en 1623 mais l'on reconstruit l'abbatiale,

L'histoire de cette église se poursuit jusqu'à nos jours....
En effet, en 1917, le dôme de la croisée s'effondre en entraînant la voûte de la travée orientale de la nef et celle de la première travée du bras nord du transept.
Les réparations ont été faites dans les années qui suivirent.
La croisée est alors couverte d'une voûte d'ogives.

Si vous pénétrez dans une église, vous aurez la chance de pouvoir comprendre l'histoire de toute une région!

À demain!

Entrez dans notre cuisine!
Vous y trouverez fraîcheur et saveur!
En effet, nous avons choisi d'allier la qualité gustative du fromage "comté", l'exotisme du boulgour et la fraîcheur de légumes et de fruits afin de vous concocter une délicieuse salade fraîcheur!

Aujourd'hui, je cuisine une salade de boulgour au comté!

Les ingrédients pour cette recette:
(6 personnes- préparation 15 minutes- cuisson 25 minutes)

-200g de boulgour
-150g de comté
-2 pommes fruits
-1 concombre
-1 poivron rouge
-1 citron
-ciboulette
-1 càc de curry
-7 càs de vinaigre
-7 càs d'huile d'olive
-sel, poivre

Faites cuire le boulgour dans un grand volume d'eau bouillante 25 minutes .
Au bout de ce temps égouttez-le et laissez-le refroidir.

Pelez, lavez, épépinez et coupez le concombre en petits dés.
Pelez, lavez, épépinez et coupez les pommes en dés.
Pelez, lavez, épépinez et coupez le poivron en dés.
Coupez le comté en dés.
Pressez le citron.

Mettez le boulgour dans un grand saladier.
Ajoutez-y le concombre, les pommes, le poivron, le comté et le jus du citron.
Réservez au réfrigérateur jusqu'au moment de servir.

Pendant ce temps préparez la vinaigrette en mélangeant le vinaigre, l'huile, le sel, le poivre, le curry.
Assaisonnez votre salade avec cette préparation et servez aussitôt!

Ciselez finement de la ciboulette pour décorer votre plat ou vos assiettes.

Bon appétit!

Vous pouvez retrouver d'autres idées "salades" sur ce lien.

Vous pouvez retrouver d'autres idées "boulgour et quinoa" sur ce lien.

Aujourd'hui, Marc et moi avons la joie de mettre à l'honneur Gourmandine du blog "Fourchette et Pinceaux".

En effet, notre amie Gourmandine a été séduite par notre recette, "salade camarguaise"  (voir la recette sur ce lien).

Après avoir réalisé quelques modifications par rapport à la recette initiale, le résultat est superbe comme nous le montre cette photo.

N'hésitez pas à allez vous promenez sur son blog, c'est un vrai enchantement!

Merci beaucoup Gourmandine pour ces bons moments de partage.

Je vous invite à voir le récapitulatif de "MES RECETTES ET VOUS" sur ce lien.

Figeac est une commune située dans le département du Lot, et que nous avons eu le loisir de visiter lors de notre dernier voyage dans cette région!

Nous commençons notre balade de ce jour par le palais Balène qui était à la veille de la guerre de Cent Ans l'une des plus grandes demeures de Figeac!

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Le portail du palais Balène est caractéristique du style gothique.

Après la fondation d'une abbaye au 9e siècle, l'essor économique de la cité s'intensifie à partir du 12e siècle!
La richesse des marchands s'exprime alors dans l'architecture et le décor de leur demeure!
C'est le cas du très bel Hôtel d'Auglanat!

Cet édifice date du 14e siècle et se trouve dans l'actuelle rue Gambetta.

Le portail est orné de feuilles de chêne et de lierre.

Ce bâtiment se situait sur l'une des principales voies de la ville médiévale.

Nous sommes rue du Canal et nous admirons cette maison!
Elle présente un étage construit aux 15e siècle qui prend appui sur un rez-de-chaussée médiéval!

À demain!