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Lors de notre dernier voyage en baie de Somme, nous nous sommes arrêtés à l'abbaye de Valloires afin de pouvoir admirer cette fondation cistercienne du 12e siècle.
Hier, nous avons suivi notre guide dans l'abbatiale de l'abbaye de Valloires (voir le lien). Aujourd'hui, nous continuons notre visite par la découverte de quelques sculptures un peu spéciales. Cliquez sur les photos pour les agrandir! 
Derrière les stalles que nous avons vues, hier, dans le choeur (voir le lien), se trouve une petit chapelle.
Cette chapelle abrite la tombe de Thérèse Papillon, cette jeune infirmière qui fonda en 1922 le préventorium à l'abbaye pour y abriter de nombreux enfants menacés par la tuberculose. 
En levant la tête, on aperçoit deux anges réalisé par le baron Pfaffenhoffen (voir le lien).
Ces deux anges ont la particularité d'avoir été fabriqués en papier mâché. 
Quatre superbes sculptures ornent les murs du choeur de l'abbatiale.
Ces sculptures représentent les quatre évangélistes. Ici, Luc est représenté avec son symbole, le taureau ailé. Le taureau est l'animal des sacrifices et l'évangile de Luc commence dans la temple. 
On peut dire que pour la décoration de cette abbaye le baron Pfaffenhoffen s'en ai donné à coeur joie!
Matthieu est, ici, représenté avec un petit garçon car son évangile commence par la généalogie de Jésus. 
Le baron Pfaffenhoffen était sculpteur de son état.
Pendant 30 ans, il se consacra à la décoration de l'abbaye de Valloires. Marc est, lui, associé à un lion. Le lion est l'animal symbole du désert et l'évangile de Marc commence par la prédiction de Jean-Baptiste dans le désert. 
Enfin, l'évangéliste Jean est représenté avec un aigle car son évangile commence par des considérations théologiques.
Je vous attends demain pour la fin de cette balade consacrée à l'abbaye de Valloires. Bonne journée! 
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Il y a quelques jours, nous avons voulu aller à la cueillette de nos dernières framboises!
Je vois bien Marc dans les framboisiers! Chic on va se régaler! Cliquez sur les photos pour les agrandir! 
Hélas! La pluie de ces derniers jours a fait un ravage dans les framboises!
Marc est revenu avec une passette pleine de...cassis! Ce n'est pas bien grave! Nous aimons, aussi, beaucoup le cassis. Il faut, à présent, équeuter le cassis et le laver. C'est parti! 
On y ajoute une poignée de framboises qui ont résisté, au mauvais temps, avec toute la force de leur petits bras.
J'ai sorti mon extracteur de jus.
Il est constitué de trois parties distinctes: -la partie du bas est réservée à l'eau -au-dessus on récupère le jus qui tombe par un petit tuyau -tout en haut on y met les fruits Il suffit de mettre à chauffer. Il faut de temps en temps ajouter un peu d'eau dans le réservoir en cours d'extraction du jus! 
Le résultat est probant, un saladier rempli de jus de cassis!
Mais voilà! Que faire avec ce jus?
Voici quelques idées: -de succulentes gelées -de la glace (voir l'idée glace 2011) -glace idée 2012 (voir la recette sur ce lien) -un délicieux coulis (voir la recette sur ce lien) Bonne dégustation! 
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Après avoir récolté notre cassis et en avoir extrait le jus (voir le lien), j'ai décidé de réaliser du coulis.
Une recette toute simple et qui, le coulis ainsi obtenu, se congèle très bien. Vous aurez, alors, un délicieux coulis pour accompagner vos futurs desserts! 
Les ingrédients pour cette recette:
-pour 1/4 de litre de jus -80g de sucre La quantité de sucre dépend de la texture de vos fruits, de votre jus et de votre appréciation! Si vous aimez sucré ou moins sucré! Si vos cassis sont plus ou moins sucrés. 
Il suffit de mettre le jus et le sucre dans un bol mixer et de réduire, le tout, en purée.
Vous les mettez dans des petits pots bien fermés et vous les congelez pour une prochaine utilisation!
Bon appétit! Vous pouvez retrouver d'autres idées desserts sur ce lien. 
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Nous sommes toujours dans l'abbaye de Valloires située dans le département de la Somme, région que nous avons visitée lors de notre dernier voyage en baie de Somme.
Nos pas nous ont conduit dans le cloître (voir le lien), puis à la sacristie (voir le lien) et enfin dans le grand salon de l'abbaye (voir le lien). Pour quelques jours, nous allons nous intéresser à l'abbatiale de l'abbaye de Valloires. Cliquez sur les photos pour les agrandir! 
Lorsque le clocher s'effondra sur l'abbaye en 1738, on fit appel au baron Simon Pfaff de Pfaffenhoffen, baron autrichien.
Exilé en France après un double homicide il s’établit à Saint-Riquier, dans la Somme, en 1750. Il s'est occupé, notamment, de la décoration de l’église et de la sacristie de l’Abbaye de Valloires. Le buffet d'orgue a été réalisé par "Pfaff". On peut y apercevoir des angelots ainsi que le roi David, roi musicien, au sommet de l'orgue 
Le confessionnal est du même style baroque.
Le choeur de l'abbatiale est superbe.
Les grilles du choeur sont en fer forgé.
Une poire apparaît dans la partie supérieure de la grille, c'est l'emblème de de l'abbaye. Les grilles ont été réalisées par Jean-Baptiste Veyren, dit "le Vivarais". 
Le maître-hôtel est en marbre noir. Les décorations, des anges en adoration, sont en plomb.
C'est d'ailleurs le plomb qui tua "Pfaff". Il mourut de saturnisme! 
Vous avez remarqué les stalles à l'arrière du choeur.
Toutes en bois sculpté, elles sont de style rocaille comme, d'ailleurs, toutes les boiseries de l'abbaye. 
Toute cette décoration, de style baroque, s'exprime ici d'une façon extraordinaire.
Soudain, nous remarquons un drôle d'objet pendu au plafond!
Certain d'entre nous parle d'éponge! Mais non! Lorsque les moines ont voulu construire l'abbaye en cet endroit, ils ont remarqué que le site était gorgé de champignons "morilles". C'est ainsi qu'une morille pendu au plafond de l'abbatiale rappelle cette anecdote! Je vous attend demain pour la suite de la visite. Bonne journée! 
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Simples et rapides à cuisiner!
Nourrissantes et diététiques! Les pâtes font parties des aliments les plus consommés par les familles. Source de vitamines et de minéraux, les légumes sont des aliments indispensables pour notre bien être. Lorsqu'on allie ces deux éléments, le résultat est détonnant! Aujourd'hui, je cuisine la salade de pâtes au concombre. 
Les ingrédients pour cette recette:
-300g de pâtes -1 concombre -poivrons séchés conservés dans l'huile -2 tranches de jambon -ciboulette Pour la vinaigrette -huile d'olive -vinaigre à l'estragon -1 càs de moutarde forte -1 ou 2 gouttes de tabasco -quelques feuilles de basilic 
Faites cuire vos pâtes "al dente".
Préparez votre vinaigrette. Pelez le concombre, évidez-le, lavez-le et détaillez-le en petits dés. Coupez le jambon et les poivrons en dés. Mettez le tout dans un grand saladier avec la vinaigrette et mélangez soigneusement. 
Finissez en ciselant finement ciboulette et basilic.
Gardez au frais jusqu'au moment de servir. Bon appétit! Vous pouvez retrouver d'autres recettes de pâtes sur ce lien. Vous pouvez retrouvez d'autres idées salades sur ce lien. 
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La visite de l'abbaye de Valloires, commencée vendredi dernier, continue aujourd'hui par la découverte de quelques pièces toujours aussi bien décorées.
Nous nous sommes arrêtés, un moment, dans la salle capitulaire de l'abbaye. La salle capitulaire, aussi appelée salle du chapitre, est le lieu où se réunit quotidiennement la communauté religieuse de l'abbaye. Cliquez sur les photos pour les agrandir! 
On y discute de toutes les affaires de la communauté.
C'est également dans cette salle que sont faites les annonces et les proclamations communiquées par l’évêque ou le pape. 
Le grand salon.
Les boiseries sont signées Simon Pfaff de Pfaffenhoffen ce baron autrichien, né à Vienne en 1715, et éxilé en France après un double homicide, en 1750. Je vous en parle dans l'article de la sacristie de l'abbaye (voir le lien ici). 
Une impression de vécu se dégage de cette décoration!
De style rocaille ou rococo, les boiseries ressemblent à celles de la sacristie.
Ce tableau représente Pfaffenhoffen.
Une des tableaux montre le prieur, habillé de sa coule.
Cette photo n'est pas très nette. Elle figure sur une des tables du grand salon et représente Thérèse Papillon.
Jeune infirmière de la croix-rouge, elle fonde son association et transforme l'abbaye en préventorium en 1922. Elle gardera ce statut jusqu'en 1978. Cette vocation d'aide et d'accueil aux plus démunis ne quittera plus Valloires. Bonne journée! 
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Un fromage de chèvre est un fromage obtenu en transformant exclusivement du lait de chèvre, qui ne peut pas être mélangé avec le lait d’un autre animal.
Le fromage de chèvre possède des qualités nutritionnelles qui font de lui une véritable source de bienfaits. Il possède un grand nombre de vitamines qui ne sont pas toutes présentes dans les légumes. N'hésitez plus, mangez du fromage de chèvre. Pour vous aider, je vous cuisine, aujourd'hui, la timbale de chèvre. 
Les ingrédients pour cette recette (4 timbales):
-200g de fromage de chèvre frais -1 carotte -1 courgette -1 gousse d'ail -persil, ciboulette, basilic -1 bouillon cube -huile d'olive -sel, poivre 
Pelez les carottes et faites-les cuire dans une casserole d'eau chaude avec le bouillon cube.
Au bout de 10 minutes, pelez, lavez et coupez les courgettes. Mettez-les dans la casserole à cuire avec les carottes. Laissez cuire encore 10 minutes. En résumé, 20 minutes de cuisson pour les carottes et 10 minutes pour les courgettes. 
Disposez du papier sulfurisé dans des ramequins.
Tapissez les ramequins de rondelles de courgette. 
Pelez l'ail et lavez-le ainsi que le basilic, le persil et la ciboulette.
Hachez le tout à l'aide d'un robot mixer. Écrasez le fromage de chèvre. Ajoutez-y le mélange d'ail et d'herbes. Salez et poivrez. Garnissez les ramequins du mélange au chèvre. Gardez au frais jusqu'au moment de servir. 
Au moment de servir, retournez les ramequins au centre des assiettes.
Enlevez délicatement le papier sulfurisé. Mixez les carottes et le restant des courgettes. 
Décorez les timbales de chèvre avec cette purée de carotte et de courgette.
Dégustez bien frais. Bon appétit! 
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Depuis quelques jours, nous visitons l'abbaye de Valloires (voir le lien).
Après avoir admirer l'extérieur, nous avons pris plaisir à nous arrêter, un moment, dans le cloître (voir le lien). Aujourd'hui, nous visitons la sacristie. Sur le palier, une très belle statue nous accueille! Cliquez sur les photos pour les agrandir. 
La sacristie, qui jouxte l’abbatiale, est remarquable par ses boiseries, son parquet à la française et des toiles à thèmes évangéliques.
Les toiles sont encastrées dans les lambris.
La sacristie est de style Rocaille, un style de décoration en vogue sous Louis XV.
Ce style, aussi appelé style Rococo, est caractérisé par la fantaisie des lignes contournées rappelant les volutes des coquillages avec leurs enroulements.
Simon Pfaff de Pfaffenhoffen, baron autrichien, est né à Vienne en 1715, au sein d'une famille de noble lignée de chambellans et conseillers intimes des empereurs.
Exilé en France après un double homicide il s’établit à Saint-Riquier, dans la Somme, en 1750. Il s'est occupé, notamment, de la décoration de l’église et de la sacristie de l’Abbaye de Valloires. 
La sacristie se situe Juste à côté de l'abbatiale.
Je vous retrouve demain pour la suite de la visite. Bonne journée. 
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La groseille est une petite baie gorgée de jus et dont la saveur acidulée se révèle très rafraîchissante.
Très peu sucrée, elle fait partie des fruits les moins caloriques...Un peu comme le citron! Aujourd'hui, je cuisine la tarte aux groseilles et à la noix de coco. 
Les ingrédients pour cette recette:
-une pâte feuilletée -des groseilles -100g de sucre -100g de noix de coco -1 oeuf -1 brique de crème fraîche 
Foncez un moule à tarte avec la pâte feuilletée.
Piquez le fond avec une fourchette. Étalez les groseilles sur la pâte. Mélangez le sucre, la noix de coco, la crème et l'oeuf au fouet. Versez cette migaine sur les groseilles. 
Mettez la tarte dans un four à 220° pendant 30 à 35 minutes.
Bon appétit! Vous pouvez retrouver d'autres idées desserts sur ce lien. 
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Je vous ai présenté l'abbaye de Valloires, dans cet article (voir le lien).
Nous avons eu l'occasion de visiter cette abbaye cistercienne du 12e siècle lors de notre dernier voyage en baie de Somme. Aujourd'hui, nous allons nous attarder dans le cloître. Cliquez sur les photos pour les agrandir! 
On arrive au cloître par la galerie de la "collations".
Le cloître date du 18e siècle.
Les moines s'y réunissaient pour la collation.
On y pratiquait, aussi, la lecture commune.
C'est, également, ici, que l'abbé procédait au lavement des pieds de chaque moine,en signe d'humilité.
La visite continue et nous nous dirigeons vers les escaliers "des matines" qui nous donne accès à l'étage.
À demain pour la suite. Bonne journée! 
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Dans ma série mes loisirs, ma lecture, je vous présente, aujourd'hui, un livre de Nicolas Vanier, "Le Grand Voyage"(tome 1 et 2).
Nicolas Vanier, né en 1962 au Sénégal, est un aventurier, écrivain et réalisateur français. Passionné par le Grand Nord, il commence ses expéditions en traversant à pied la Laponie en 1982. En 1983, il s'attaque au Grand Nord québécois sur les traces des indiens Montagnais. Il explore plus avant le nord canadien en traversant la péninsule du Nouveau-Québec-Labrador avec des traîneaux à chiens. Cette exploration fera l'objet d'un premier ouvrage, Grand Nord. En 1994, il entreprend avec sa femme et sa fille, Montaine, alors âgée d'un an et demi, un voyage d'un an à travers les Rocheuses et le Yukon jusqu'en Alaska.
Le Grand Voyage Tome 1: Mohawks et les Peuples d'en haut.
Présentation de l'éditeur: "Tu iras par la terre, la pierre, le flot et les glaces." Ce sont les dernières paroles que Raian, le vieux chef nahanni adresse à Mohawks, son arrière-petit-fils de seize ans. Le Grand Voyage ! La plus haute mission qui soit. Très rarement initiée, encore plus rarement réussie. Parmi les obstacles, et non des moindres : l'amour, qui immobilise. Car la route est longue… Le nouveau Zuyis, le Voyageur, doit rejoindre quatre villages sacrés et recréer le lien qui fait l'unité et la force des tribus du Nord. Tous vont attendre son retour. Il ne faut pas tarder. Une menace plane sur les Peuples d'en haut… Mohawks part pour un voyage qui durera 48 lunes. En canoë, à cheval, puis avec un attelage de chiens dont le fidèle Torok est le chef de meute, il va relier les différents villages en parcourant sans relâche la taïga, la toundra, les montagnes et la banquise. Il va errer, espérer, apprendre et se décourager jusqu'à en perdre le fil de sa quête. Mais opiniâtre, fier et vaillant, malgré l'amour, le froid, la solitude et les épreuves, le Voyageur n'abandonnera jamais… 
Le Grand Voyage Tome 2:La quête de Mohawks
Présentation de l'éditeur: Mohawks, le jeune Indien nahanni, a reçu de son arrière-grand-père la plus haute charge qui soit : être le Zuyis, le Grand Voyageur. Il doit relier les villages du Peuple d'en haut et recréer l'union… Et le temps presse : les Grands Sourcils corrompent les peuples du Grand Nord et mettent en péril le succès de la quête de Mohawks. À cette menace que représentent les Blancs s'ajoutent les aléas de ce Grand Voyage : les mauvaises rencontres, les dangers inhérents à la nature, les risques toujours plus grands que devra prendre Mohawks pour réussir. Le doute aussi, face à la difficulté de la tâche, face aux épreuves qui se succèdent sans relâche… Mais cette mission va également devenir le chemin d'une initiation personnelle : le jeune homme de seize ans qui a quitté son village pour un voyage de quatre ans va peu à peu apprendre la nécessité de l'endurance, de la patience, de la persévérance, et renouer avec les valeurs qui sont celles des territoires de la Coiffe. Plus encore, la force de l'amour deviendra la clef de sa réussite. Lorsqu'il rencontre Anja, et avec elle l'amour fusionnel, le jeune guerrier impatient de prouver sa bravoure et de bien tenir son rôle, s'assagit. Il incarne enfin le Grand Voyage, le Marcheur. Dans cette quête périlleuse, chaque écueil vaincu le change en profondeur… Mohawks parviendra-t-il au terme de son incroyable épopée ? Deviendra-t-il un Zuyissan, celui qui achève le Grand Voyage ? Sera-t-il capable d'éteindre ce feu que la menace blanche allume partout sur ces territoires qui sont la chair des Peuples d'en haut ? Si vous aimez l'aventure, les grands voyages...Si, tout simplement vous aimez lire Nicolas Vanier.....Je vous recommande ce roman...Un vrai moment de plaisir! Bonne lecture! 
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Aujourd'hui, je vous propose la dernière assiette apéritive servie lors de notre dernière réunion familiale.
Cette assiette récapitule les dernières idées apéritives présentées sur ce blog. Elle était composée de: -bouchées au thon (voir le lien) -verrines champignons lardons (voir le lien) -toasts-sandwichs de pommes de terre aux anchois (voir le lien) Je vous souhaite un bon apéritif! Vous pouvez retrouver d'autres idées apéritives sur ce lien. 
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Le restaurant La Forêt est situé dans le centre thermal et touristique d'Amnéville-les-Thermes.
Ce site, est l'un des plus visité de la Moselle. Il comprend, en effet, une piscine olympique, une patinoire, les thermes, le casino et bien sûr le fameux et très connu zoo d'Amnéville. Situé au coeur d'une forêt, c'est un endroit idéal pour réaliser de très belles balades! Nous y avons déjeuné en semaine. Allons! Assez papoté! Entrons! 
Nous nous sommes installés dans un décor moderne au milieu d'une ambiance agréable.
Une verrine accompagnait l'apéritif. Il s'agit d'une salade de lentilles.
En entrée, nous avions le choix entre une terrine de sandre à la crème à l'aneth...
...ou un marbré de foie gras de canard à la cerise noire.
Moi, j'ai choisi l'escalope de saumon sauce homardine.
Marc a préféré le pavé de veau rôti aux mousserons.
Les mousses aux trois chocolats, coulis à l'orange pour moi.
Une assiette gourmande pour Marc.
Un petit biscuit, servi en cuillière, accompagnait le café ou le thé.
Ce restaurant est fréquenté par une clientèle d'habitués, touristes, curistes, employés et représentants. Nous y avons passé un agréable moment. 
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Notre amie Jocelyne, séduite par le clafoutis aux poires (voir le lien), a réalisé quelques clafoutis en prenant notre recette comme base (voir le lien des clafoutis de Jocelyne).
Aussitôt, j'ai voulu tester son idée de réaliser un clafoutis à la cassonade. Aujourd'hui, je cuisine le clafoutis, sans fruits, à la cassonade! 
Les ingrédients pour cette recette:
-100g de farine -50g de beurre -4 oeufs -40cl de lait -125g de sucre -1 pincée de sel -de la cassonade 
Faites fondre le beurre à feu doux et laissez tiédir.
Battez les oeufs en omelette. 
Dans un saladier, mélangez la farine et le sel.
Ajoutez les oeufs battus, le beurre fondu et 125g de sucre. Remuez bien jusqu'à l'obtention d'une pâte lisse et homogène. Délayez alors avec le lait froid sans cesser de mélanger. J'ai ensuite, versé ce mélange dans un plat beurré. Enfournez et laissez cuire 30 minutes dans le four à 180°. Sortez le plat du four et saupoudrez de cassonade sur toute la surface du clafoutis. Remettez dans le four 15 minutes. 
J'ai servi ce clafoutis tiède avec des framboises du jardin et un coulis à la framboise.
Bon appétit! Et merci Jocelyne pour cette belle et savoureuse idée! Vous pouvez retrouver d'autres idées desserts sur ce lien. 
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Mon amie Jocelyne du blog "Le Chaudron Magique de Jojo" a été séduite par la recette du clafoutis aux poires réalisée sur ce blog.
Elle a donc testé cette recette avec des pêches et, m'a gentiment envoyé quelques photos. 
Il est très beau et surtout bien appétissant!
Aussitôt, Jocelyne l'a essayé aux groseilles et amandes effilées.
On en mangerait bien un petit morceau, non?
Du coup, comme Jocelyne m'a parlé d'un essai avec de la cassonade, j'ai testé un clafoutis sans fruits à la cassonade (voir lien)! Bravo Jocelyne, tes clafoutis sont superbes! 
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